Investissement au travail : comment créer une performance durable ?

Et si on pratiquait les leviers de l’épanouissement au travail ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une étude de 2012 du Center for Positive Organizationnal Scholarship de la Ross School of Business de l’Université du Michigan, sur un panel de 1200 employés et cadres de différents secteurs d’activités (énergie, industrie maritime et manufacturière, services de santé et services financiers, éducation supérieure, …) a étudié la nature de l’épanouissement au travail et les facteurs qui la favorise ou l’inhibe.

 

Les personnes qui ont le taux d’épanouissement le plus important sont celles qui cumulent en même temps :
– la vitalité
: le sentiment d’être vivantes et de déborder d’énergie, pour elles et pour les autres
et le sentiment d’apprentissage, de progrès : l’acquisition continue de connaissances et de compétences.

 

Les employés qui obtiennent un score élevé sur la double composante vitalité / apprentissage ont un taux d’engagement de 32% plus important et un taux de satisfaction de 46% supérieur, ainsi que des résultats meilleurs de 27% à ceux de leurs collègues moins épanouis.
Par ailleurs, ils sont 53% plus susceptibles d’évolution professionnelle que les autres employés.

4 facteurs essentiels permettent de cultiver ces deux composantes :

1. Éliminer les comportements d’incivilité des managers ou directeurs envers leurs subordonnés
2. Partager le plus souvent possible l’information stratégique
3. Développer la possibilité de prendre des décisions au plus près du terrain
4. Fournir régulièrement aux collaborateurs un feed-back sur leur performance, en temps réel,
au plus près de l’action

 

La combinaison de ces 4 facteurs est essentielle au développement d’une culture de l’épanouissement des collaborateurs dans les organisations, l’une ne va pas sans l’autre.